Présentation
Bonjour à vous tous,
Mon nom est Sabrina, je suis étudiante au Collège Lasalle en commercialisation de la mode et dans le cadre de mon cours d'Import/Export, je dois créer un blog. J'ai décidé de suivre le cours de commercialisation de la mode parce que j'adore le côté marketing des transactions commerciales. J'ai toujours aimé la mode sans nécessairement être une fashionista, mais j'aime mon cours et toutes les notions apprises. Je sais que ce que j'ai appris me servira lors de mon entrée dans l'industrie.
Alors le voici! J'ai choisi l'historique de la traite de la fourrure comme sujet! Je crois que ce sujet touche mon cours parce que l'importation et l'exportation de la fourrure sont des parties importantes de la traite et de l'historique de la fourrure. J'ai aussi choisi ce sujet parce que j'apprendrai plus concrètement les applications de l'importation et de l'exportation. Ce sujet m'apprendra beaucoup aussi sur un peu d'histoire du Québec. J'espère que vous aimerez lire mes petites chroniques!
Mon nom est Sabrina, je suis étudiante au Collège Lasalle en commercialisation de la mode et dans le cadre de mon cours d'Import/Export, je dois créer un blog. J'ai décidé de suivre le cours de commercialisation de la mode parce que j'adore le côté marketing des transactions commerciales. J'ai toujours aimé la mode sans nécessairement être une fashionista, mais j'aime mon cours et toutes les notions apprises. Je sais que ce que j'ai appris me servira lors de mon entrée dans l'industrie.
Alors le voici! J'ai choisi l'historique de la traite de la fourrure comme sujet! Je crois que ce sujet touche mon cours parce que l'importation et l'exportation de la fourrure sont des parties importantes de la traite et de l'historique de la fourrure. J'ai aussi choisi ce sujet parce que j'apprendrai plus concrètement les applications de l'importation et de l'exportation. Ce sujet m'apprendra beaucoup aussi sur un peu d'histoire du Québec. J'espère que vous aimerez lire mes petites chroniques!
Au Canada et au Québec
Quand la traite des fourrures à fait son apparition au Canada, elle ne consistait en fait qu'à accompagner et compléter l'industrie de la pêche. C'est-à-dire que les fourrures servaient comme les poissons d'excellentes monnaies d'échanges pour pouvoir obtenir des couteaux et haches en fer, poinçons, bouilloires en cuivre, couvertures et breloques des Européens. Car, nous savons tous que les explorateurs de France venaient ici afin de faire du troc avec les Amérindiens d'ici. Eux, en Europe, vendaient les fourrures qu'ils avaient échangé contre de vulgaires miroirs et faisaient beaucoup de profits sur le dos des Canadiens en revendant chers les impressionnante fourrures. Cependant, un peu plus tard, la traite de la fourrure de castors explosa à cause de la tendance au feutre, la fourrure de castor est de loin le meilleur matériel pour fabriquer la feutrine. De là a commencé à reconnue la fourrure canadienne...
Principale activité économique
Pour l'histoire de l'ensemble du territoire canadien, la première activité économique fût la traite de la fourrure. Le commerce de cette richesse naturelle qu'étaient nos fourrures, était très lucratif, puisque les gens qui vivaient de la traite n'avaient qu'à traquer l'animal recherché et arranger sa fourrure. Ensuite, il fallait se rendre au plus vite à des endroits stratégiques, là ou se trouvaient les marchands d'Europe, qui eux, échangeaient notre marchandise contre des produits manufacturés. Il est important de savoir que les Autochtones étaient les meilleurs pour chasser les bêtes et faire la traite.
Les Européens recherchaient les fourrures canadiennes parce qu'ils les revendaient dans en Europe pour la confection de manteaux et accessoires de luxe.
Plus le temps avançait, les chasseurs d'Amérique du Nord se sont adaptés à de nouvelles techniques de chasse qui leurs facilitaient la tâche. Ils commencèrent à utiliser les armes à feux pour plus de productivité. Enfin, les chasseurs et les hommes d'Europe devinrent coéquipiers et collaboraient ensemble pour créer un commerce qui consistait à ce moment la plus importante activité économique.
http://www.seminaire-sherbrooke.qc.ca/hist/hist4/Enrichi/trfour.htm
Les Européens recherchaient les fourrures canadiennes parce qu'ils les revendaient dans en Europe pour la confection de manteaux et accessoires de luxe.
Plus le temps avançait, les chasseurs d'Amérique du Nord se sont adaptés à de nouvelles techniques de chasse qui leurs facilitaient la tâche. Ils commencèrent à utiliser les armes à feux pour plus de productivité. Enfin, les chasseurs et les hommes d'Europe devinrent coéquipiers et collaboraient ensemble pour créer un commerce qui consistait à ce moment la plus importante activité économique.
http://www.seminaire-sherbrooke.qc.ca/hist/hist4/Enrichi/trfour.htm
Le castor canadien
La fourrure du castor est depuis dès le début de la traite, un type très de fourrure très prisé dans ce marché.
Le castor est le plus gros rongeur d'Amérique du Nord, c'est un animal très intelligent qui sait s'adapter à son environnement. Il vit aussi bien sous l'eau que sur la terre ferme. Grâce à sa large queue, il est capable de très bien se déplacer sous l'eau et celle-ci lui permet de garder l'équilibre hors de l'eau.
Son pelage est d'une super couleur, soit brun-roux. Il est aussi très brillant. Vu son mode de vie et l'environnement qui l'entoure, son pelage s'y est adapté. Sa fourrure est fournie, imperméable et extrêmement isolante. Elle possède deux couches bien distinctes: une couches de poils longs et fins ainsi que l'autre qui est de poils plus drus et plus longs. Le castor s'écrète une huile naturelle qui permet de rester au sec ainsi que d'éloigner les insectes et parasites qui pourraient lui être nuisibles.
Pour garder l'apparence de son pelage, ses pattes sont elles aussi adaptées pour pouvoir le peigner. De plus, cet animal consacre beaucoup de temps à lisser sa fourrure qui lui est extrêmement utile dans tous les aspects de son mode de vie.
Le castor est un mammifères qu'on peut retrouver au Canada ainsi que les régions plus au nord. On le retrouve aussi aux États-Unis jusqu'au nord du Mexique.
La fourrure du Québec pour la Russie
Ici, cet article explique qu'en Amérique du Nord, la tendance n'est plus aux manteaux de fourrures. Les gens ne sont plus fervents à l'idée de devoir tuer des animaux pour en soutirer leurs pelages. Par contre, la Russie et la Chine porte maintenant un intérêt pour nos fourrures québécoises. Lorsque Teresa Eloy assistait à un défilé à Moscou, elle a été surprise de ne pas y apercevoir d'agents de sécurité lors du défilé. Il n'y avait personne qui militait pour le droit des animaux.
Le lendemain de ce défilé, elle était ravie et sécurisée afin de présenter les créations et les produits des fabricants québécois. En effet, la Russie est un pays ou les produits de luxes sont très populaires et c'est pourquoi les manufacturiers du Québec prévoient y vendre le plus gros de leur produits.
Zuki Balaila, un designer québécois affirme faire affaire avec les Russes depuis plus de 10 ans. Il possède même un point de vente près de Moscou et prévoit en ouvrir un deuxième éventuellement. L'avantage c'est que là bas, les gens riches n'accordent pas autant d'importance aux prix des produits qu'ils consomment, il est donc plus facile pour les vendeurs et créateurs de vendre des produits haut de gamme. Il faut savoir que les taxes d'exportation du Québec à la Russie sont de 40% et que les locaux à Moscou sont chers, malgré cela, les profits sont possibles et réalisables.
http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/200901/06/01-689688-la-fourrure-quebecoise-rechauffe-les-russes.php
Zuki Balaila, un designer québécois affirme faire affaire avec les Russes depuis plus de 10 ans. Il possède même un point de vente près de Moscou et prévoit en ouvrir un deuxième éventuellement. L'avantage c'est que là bas, les gens riches n'accordent pas autant d'importance aux prix des produits qu'ils consomment, il est donc plus facile pour les vendeurs et créateurs de vendre des produits haut de gamme. Il faut savoir que les taxes d'exportation du Québec à la Russie sont de 40% et que les locaux à Moscou sont chers, malgré cela, les profits sont possibles et réalisables.
http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/200901/06/01-689688-la-fourrure-quebecoise-rechauffe-les-russes.php
Subscribe to:
Posts (Atom)