Présentation

Bonjour à vous tous,

Mon nom est Sabrina, je suis étudiante au Collège Lasalle en commercialisation de la mode et dans le cadre de mon cours d'Import/Export, je dois créer un blog. J'ai décidé de suivre le cours de commercialisation de la mode parce que j'adore le côté marketing des transactions commerciales. J'ai toujours aimé la mode sans nécessairement être une fashionista, mais j'aime mon cours et toutes les notions apprises. Je sais que ce que j'ai appris me servira lors de mon entrée dans l'industrie.

Alors le voici! J'ai choisi l'historique de la traite de la fourrure comme sujet! Je crois que ce sujet touche mon cours parce que l'importation et l'exportation de la fourrure sont des parties importantes de la traite et de l'historique de la fourrure. J'ai aussi choisi ce sujet parce que j'apprendrai plus concrètement les applications de l'importation et de l'exportation. Ce sujet m'apprendra beaucoup aussi sur un peu d'histoire du Québec. J'espère que vous aimerez lire mes petites chroniques!




La fourrure du Québec pour la Russie

Ici, cet article explique qu'en Amérique du Nord, la tendance n'est plus aux manteaux de fourrures. Les gens ne sont plus fervents à l'idée de devoir tuer des animaux pour en soutirer leurs pelages. Par contre, la Russie et la Chine porte maintenant un intérêt pour nos fourrures québécoises. Lorsque Teresa Eloy assistait à un défilé à Moscou, elle a été surprise de ne pas y apercevoir d'agents de sécurité lors du défilé. Il n'y avait personne qui militait pour le droit des animaux.

Le lendemain de ce défilé, elle était ravie et sécurisée afin de présenter les créations et les produits des fabricants québécois. En effet, la Russie est un pays ou les produits de luxes sont très populaires et c'est pourquoi les manufacturiers du Québec prévoient y vendre le plus gros de leur produits.


Zuki Balaila, un designer québécois affirme faire affaire avec les Russes depuis plus de 10 ans. Il possède même un point de vente près de Moscou et prévoit en ouvrir un deuxième éventuellement. L'avantage c'est que là bas, les gens riches n'accordent pas autant d'importance aux prix des produits qu'ils consomment, il est donc plus facile pour les vendeurs et créateurs de vendre des produits haut de gamme. Il faut savoir que les taxes d'exportation du Québec à la Russie sont de 40% et que les locaux à Moscou sont chers, malgré cela, les profits sont possibles et réalisables.

http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/200901/06/01-689688-la-fourrure-quebecoise-rechauffe-les-russes.php